Boubacar Touré

Expérience professionnelle:

Conseiller aux affaires judiciaires et coordonnateur de l’État de Droit, Nord-Kivu (ONU) (2009-2011)

Chef de bureau intérimaire de la mission des Nations Unies au Katanga (RD-Congo) (2008-2009)

Officier des Droits de l’Homme et coordonnateur de bureau MONUC (2002-2008)

Fonctionnaire Ville de Montréal, en charge du comité aviseur-CARIM du Maire (2001-2002)

Administrateur de terrain, Haut Commissariat aux Refugiés,Nations Unies (1997-1998)

Chargé de protection, Haut Commissariat aux Refugiés, Nations Unies (1998-1999)

Chef de bureau intérimaire, Haut Commissariat aux Refugiés,Nations-Unies (1999-2001)

Enquêteur-Médiateur,Commission des Droits de la personne et jeunesse du Québec (1995-1996)

Attaché d’administration chargé des ressources financières et matérielles, CDPDJ (1993-1995)

Fonctionnaire au Ministère de l’Énergie et des Ressources du Québec,chargé des ressources  financières et budgétaires (1987-1992)

Assistant-professeur, Université Laval 1987

Assistant-professeur et agent de recherche, Université de Moncton 1985

 

Formation académique:

Maîtrise en Droit

Maîtrise en Administration Publique

 

Sujet de recherche: Les acteurs judiciaires ont recours au consensus social dans l’adaptation et l’interprétation des normes juridiques

Plusieurs auteurs ont rappelé dans leurs travaux surtout les théoriciens de la pensée herméneutique, qu’il existe des contextes où le texte de loi n’est pas clair; soit en raison de son silence, soit qu’il comporte des lacunes et ambiguïtés. Dans ces circonstances, les juges sont appelés à faire recours au consensus social, pour interpréter la norme juridique, afin de convaincre l’auditoire sur le bien fondé de leurs décisions; surtout lorsqu’il s’agit de cas difficiles qui impliquent des valeurs sociales ou morales.

Directeur de thèse: Professeur Pierre Noreau

Ce contenu a été mis à jour le 25 novembre 2016 à 10 h 36 min.